Selon la réforme approuvée jeudi par l’Assemblée nationale populaire de Chine, le pouvoir hongkongais lié à Pékin aura un droit de veto sur les candidats de l’opposition militant pour la démocratie aux élections législatives. L’Union européenne a dénoncé “une nouvelle violation du principe ‘un pays, deux systèmes'” et n’exclut pas de prendre “des mesures supplémentaires”.