Ca va se jouer au sprint

Tous les autres sont là devant

Les Deceuninck prennent un peu les choses en main, mais c’est pas si clair que ça.

Mais ce ne sont pas encore les équipes de sprinteurs qui roulent

Nacer Bouhanni lui est dans le bon groupe.

Pas de favoris piégés cependant semble-t-il.

Et ca commence à rouler assez fort. Un peu de tension, mais tout le monde reste groupé.

Les Deceuninck avait arrêté de reouler au bout d’un moment. Les Jumbo sont revenus à l’avant. Van Aert va-t-il faire le sprint?

Colbrelli a 25 secondes de retard. il va revenir mais ca va lui coûter cher.

Et Colbrelli crève de la roue arrière. Ca va être compliqué pour lui de revenir.

Il reste 32 km et le peloton est très tranquille

Ce qui pourrait favoriser des bordures dans quelques kilomètres, si jamais des équipes ont envie de faire exploser le peloton.

On est à 60 km de l’arrivée, et les échappés n’ont plus que 1’23.

Rien de trop grave, apparemment. Il a quand même 1’30 à boucher, mais le peloton n’est pas encore à fond.

Richie Porte est tombé, mais aussi Mike Teunissen et Sepp Kuss, de l’équipe Jumbo.

On devrait avoir un peu plus d’animation en fin d’étape.

Peut-être qu’on va vouloir faire sauter des sprinters, mais on va pas trop s’emballer là dessus, on sent que les coureurs ont en tous plein les bottes.

Double montée du Ventoux, ca fait rêver. Après ce ne sera pas deux montées par le même versant, et la première ascension sera plus « facile » que la deuxième.

Il est très possible que le peloton rattrape les échappés très très vite. Et ensuite? Ca risque d’être calme aussi.

On est parti pour 90 bornes assez calmes en attendant qu’on se rapproche de l’arrivée.

« Moi je n’aurais pas pu faire cela, explique « Le Cannibale » à Sporza. Quand tu débutes une course par étapes, ce n’est pas pour abandonner. (…) Il aurait dû préparer les Jeux olympiques d’une autre manière. Mais abandonner sur le Tour, ce n’est pas bon pour le cyclisme. Van der Poel lui-même demande un calendrier aussi chargé. Personne ne l’oblige à faire tout cela. Le Tour de France est la plus grande course cycliste de l’année, je trouve que c’est dommage. » 

Ce sera Colbrelli devant Matthews. Sagan est aussi placé.

Au tour du peloton. Attention, ca monte beaucoup avant d’arriver au sprint.

Les Bike Exchange roulent maintenant pour Michael Matthews

Mads Pedersen, Julien Simon sont tombés.

Cavendish très bien placé dans le peloton. Bouhanni est pas trop loin. Il reste quand même 10 km.

On ne va pas faire sauter le maillot vert Cavendish dans la seule bosse de la journée.

C’est retombé à 3’30. C’est Hugo Houle qui roule dans le col de Couz, la première et seule difficulté de la journée.

Mais alors vraiment calme.

C’est Tim de Clerq, dit « El tractor » qui régule l’allure du peloton, mais on note la présence de Jumbo pas loin derrière lui. Est-ce à dire que Wout van Aert va maintenant jouer les sprints?

Après une cote de 4e catégorie, le peloton va attendire le lieu-dit bien-nommé La Placette entre 15h05 et 15h10 en fonctionne de la vitesse de la course pour se disputer les poitns du maillot vert, et il y en aura pas mal puisque les échappés ne sont que deux.

Le peloton est très tranquille, il ne devrait se réveiller qu’à l’approche du sprint intermédiaire où il y aura du point à prendre pour le maillot vert.

Il reste encore 177 km et l’échappée a déjà plus de 3 minutes d’avance. Mais à deux à l’avant, ça risque d’être trop juste pour aller au bout.

Le Canadien Hugo Houle et le Belge Tosh van de Sande. Le lepoton les laisse partir, ils ont 1’24 d’avance déjà.

Et ca part tranquillement, on sent que les coureurs s’économisent après les Alpes et avant le Ventoux demain.

Christian Prudhomme, directeur su Tour de France, vient de donner le départ réel de la 10e étape qui rellie Albertville à Valence.

Si l’étape s’annonce relativement plate, les coureurs ne s’attendent pas à une partie de plaisir pour autant. « Le temps est orageux, le vent tourne, c’est difficile à prévoir, confie Pierre Rolland. On peut avoir de la pluie, ça peut s’arrêter. On ne sait pas trop à quoi s’attendre. Je ne m’attends pas à une journée facile. »

David Gaudu, aussi, craint les changements de temps. « Certaines prévisions annoncent de la pluie, d’autres du vent. On va vraiment faire au fur et à mesure des kilomètres. Avec Stefan (Küng) et Miles (Scotson), on va essayer de rester au maximum ensemble. S’il y a du vent, j’ai confiance en Stefan pour essayer d’aller jouer au maximum avec le vent. Il y a eu les bordures en 2019 et 2020 mais l’expérience de Stefan va rentrer en jeu pour ça. J’espère qu’on sera les premiers au rendez-vous s’ily a des nordures. »

Le départ fictif de l’étape sera donné à 13h05. Après une traverse de la ville d’Albertville, le départ réel aura lieu à 13h20.

Après les pourcentages des étapes alpines, le peloton revient sur du plat. Il y aura seulement une difficulté avec le col de Couz (4e catégorie) situé 58,5 kilomètres après le départ. Ce sera ensuite favorable aux échappées, puis aux équipes de sprinteurs qui se battront certainement pour la victoire à Valence.

Le peloton a perdu 19 unités depuis le Grand Départ à Brest. Ils ne seront donc plus que 165 coureurs à s’élancer sur la dixième étape, ce mardi. Le week-end alpin a été particulièrement dur avec 12 abandons lors de la 9e étape vers Tignes dont ceux de Nans Peters, Tim Merlier et Jasper De Buyst. Sept coureurs sont arrivés hors-délai: Arnaud Démare, Bryan Coquard, Anthony Delaplace, Nicholas Dlamini, Jacopo Guarnieri, Loïc Vliegen et Stefan De Bod. Primoz Roglic et Mathieu van der Poel étaient, eux, non partants.

Bonjour à tous et bienvenue dans notre live pour suivre la 10e étape du Tour de France entre Albertville et Valence, longue de 190,7 kilomètres. Les coureurs retrouvent les routes après la première journée de repos, lundi, consécutive à un week-end très corsé dans les Alpes.