Après deux semaines d’offensive, les rebelles du Front pour l’alternance et la concorde au Tchad (FACT), accusés d’être responsables de la mort du maréchal Idriss Déby, ont annoncé samedi qu’ils étaient “disponibles à observer un cessez-le-feu”. Les partis d’opposition et la société civile crient au “coup d’état institutionnel” et réclament l’instauration d’une transition dirigée par les civils.