En liant le sort du juge d’instruction libanais Tarak Bitar, qu’ils veulent voir dessaisi de l’enquête sur les explosions du port de Beyrouth, à celui du gouvernement du Premier ministre Najib Mikati, les ministres proches du tandem chiite composé du Hezbollah pro-iranien et du mouvement Amal, paralysent l’exécutif.
