furieux concernant l’arrivée de Donnarumma, Navas aurait songé à un départ

Echaudé par la volonté du PSG de recruter un deuxième gardien d’envergure en la personne de Gianluigi Donnarumma, Keylor Navas aurait, un temps, envisagé quitter le club selon l’Equipe. Le Costaricien accepterait désormais la situation et serait prêt à se battre pour sa place de numéro 1.

Georginio Wijnaldum, Achraf Hakimi, Sergio Ramos, en attendant Gianluigi Donnarumma. Que le mercato du Paris Saint-Germain est riche, sur le papier. En coulisses en revanche, une arrivée pourrait avoir mis un peu d’huile sur le feu dans la capitale: celle, pas encore officialisée, de Gianluigi Donnarumma. La signature imminente du gardien international italien aurait piqué Keylor Navas, l’actuel numéro 1 parisien.

Le portier de 34 ans, indéboulonnable dans le but du PSG depuis son arrivée en 2019, pourrait avoir mal vécu qu’on lui mette dans les pattes un concurrent d’envergure, lui qui a peut-être été le meilleur Parisien la saison dernière. L’Equipe assure ce jeudi que le Costaricien aurait été « furieux » en apprenant que le PSG s’apprêtait à passer à l’action pour l’Italien de 22 ans. Citant « certains sources », nos confrères indiquent que Navas aurait même « songé à un départ ».

Pochettino aura le dernier mot

Le triple vainqueur de la Ligue des champions avec le Real Madrid (2016, 2017, 2018) semblerait avoir désormais accepté le fait de devoir être en cohabitation avec celui qui est de douze ans son cadet. Si un prêt aurait pu être envisagé pour Donnarumma pour la saison à venir, le – bientôt – ancien Milanais devrait bien être intégré à l’effectif parisien dès sa signature effective, juste après la finale de l’Euro qu’il dispute avec la Nazionale.

Quant à savoir qui sera titulaire dans le but du PSG pour la saison 2021-22, la décision devrait être mise dans les mains de Mauricio Pochettino, qui sera seul décisionnaire de la hiérarchie à ce poste si particulier. Et qui avait, au long des cohabitations peu fructueuses Sirigu-Trapp, Trapp-Areola, puis Areola-Buffon, offert quelques maux de tête à la direction parisienne.