Après une vague d’incendies qui a frappé les camps de réfugiés Rohingyas au Bangladesh en mars 2021, des collectifs d’activistes se mobilisent pour faire retirer les fils barbelés et les clôtures qui les encerclent. Au-delà de la violence symbolique, ces installations mettent selon eux en danger la vie des habitants, restreignant les mouvements notamment en cas de danger, et sont symptomatiques de la nouvelle politique d’accueil du gouvernement bangladais à leur égard : les pousser à partir en limitant leur confort.