Le fils et homonyme de l’ancien dictateur philippin Ferdinand Marcos a tenu, samedi soir, son dernier meeting d’une campagne pour la présidentielle dont il est le grand favori. Une victoire au scrutin de lundi couronnerait des décennies d’efforts pour réhabiliter l’héritage du dictateur Marcos, son père, renversé en 1986 et contraint à l’exil aux États-Unis.
