Salah Abdeslam, principal accusé au procès des attentats du 13-Novembre, a décidé mercredi d’exercer son “droit au silence”, suscitant une grande déception de la partie civile et laissant de nombreuses interrogations en suspens.

Salah Abdeslam, principal accusé au procès des attentats du 13-Novembre, a décidé mercredi d’exercer son “droit au silence”, suscitant une grande déception de la partie civile et laissant de nombreuses interrogations en suspens.