L’inévitable piège des cartes de credit et l’exploitation par les banques de leurs victimes pourraient en mener plusieurs à la faillite. Il n’y a pas de moyen facile de sortir de situations financières lorsque les revenus ne correspondent tout simplement pas aux dépenses. Nous voulons tous les dernières et meilleures choses sur le marché et beaucoup les acquièrent grâce à des prêts sur ces morceaux de plastique. Les faits sont, cependant, que les intérêts facturés peuvent signifier que le remboursement de ces prêts les met rapidement hors de portée.
Les banques ne sont pas si honorables qu’elles renonceront à leurs plus gros revenus, à savoir les cartes de credit. Ceux qui les utilisent sont des « vaches à lait » qui fournissent à leurs prêteurs d’énormes revenus et d’énormes bénéfices annuels. C’est comme le jeu quand on met de l’argent et qu’on reçoit peu en retour.
Dans le passé, j’étais moi aussi accro au credit, puis des leçons précieuses m’ont été données. Les marchandises que j’achetais pendant les soldes, etc., coûtaient deux fois plus cher que si les mêmes articles étaient achetés au comptant. Non seulement cela, mais la plupart des choses qui remplissaient mes placards étaient inutiles et ne seraient probablement jamais utilisées.
Les banques et les ventes vont de pair. On voit souvent des magasins offrant des rabais supplémentaires pour l’utilisation d’une carte Visa. Il ne faut pas être un génie pour savoir combien l’entreprise reçoit pour cette affaire légère. On n’a pas non plus besoin d’une calculatrice pour vérifier où les institutions gagnent le plus d’argent.
À l’heure actuelle en Australie, les intérêts des prêts immobiliers n’ont jamais été aussi bas. On peut obtenir une hypothèque pour quelque chose comme 1,5 % ou même moins. C’est parce que les banques savent que les gens seront obligés de vendre cette propriété à perte s’ils font faillite en utilisant leurs cartes de credit. Dans cet esprit, l’offre de credit prolongé est donnée au créancier hypothécaire.
Il y a un mouvement en cours ici pour forcer les banques à divulguer la source de leurs revenus tandis que l’opposition veut une commission royale sur les pratiques bancaires. Avec l’accent mis sur les liens permanents entre les cartes de credit et la faillite dans les médias, cela se fait attendre depuis longtemps.
La meilleure façon d’éviter le piège est de déchirer les cartes et de ne rien avoir à faire avec elles. Les bonnes affaires ne sont telles que lorsqu’il y a une véritable économie à réaliser sur l’achat. Si l’argent est correctement géré, acheter des choses au comptant deviendra rapidement une priorité.
Par Norma Holt
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