En Tunisie, un nouvel organe judiciaire “temporaire” est entré en fonction mardi. Objet de controverse, cette instance a été décrété par le président Kaïs Saïed, pour remplacer le Conseil supérieur de la magistrature (CSM), qu’il jugeait corrompu.

En Tunisie, un nouvel organe judiciaire “temporaire” est entré en fonction mardi. Objet de controverse, cette instance a été décrété par le président Kaïs Saïed, pour remplacer le Conseil supérieur de la magistrature (CSM), qu’il jugeait corrompu.