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Au milieu du barrage des nouvelles réglementaires de la semaine dernière, des rumeurs de Joe Biden décret exécutif à venir sur les actifs numériques à un autre cycle de Le bras de fer crypto du gouvernement russe, le scénario qui a sans doute été le plus important pour le récit grand public sur les effets sociaux de la crypto a été celui autour de l’impasse du gouvernement canadien avec le Freedom Convoy. L’invocation par le gouvernement des pouvoirs d’urgence pour réprimer un mouvement de protestation – combinée à l’infrastructure financière du mouvement étant l’un des principaux vecteurs d’attaque – a conduit de nombreux observateurs à apprécier avec une vigueur renouvelée la capacité de Bitcoin à résister à la censure financière de l’État.
Si un gouvernement aussi « civilisé » que celui du Canada peut arbitrairement exclure un groupe qu’il n’aime pas du système financier, alors n’importe quel État peut potentiellement faire de même avec n’importe quel groupe. Bien qu’il y ait, comme toujours, beaucoup plus de nuances dans cette situation. Ce qui compte, c’est une notion simple et digeste avec laquelle le public mondial s’éloigne des nouvelles choquantes. Jusqu’à présent, le principal point à retenir semble être le suivant : la censure financière est effrayante, mais la cryptographie offre un moyen de la contourner.
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Les factures continuent d’arriver
L’article La capacité de résistance à la censure de Bitcoin est sous les projecteurs, du 14 au 21 février est apparu en premier sur zimo news.