Après avoir annoncé, il y a quelques jours, la dissolution du Conseil supérieur de la magistrature (CSM), le président Kaïs Saïed a nommé samedi un CSM provisoire. Créée en 2016 pour nommer les juges, l’instance est accusée par le président de “partialité” et d’être sous l’influence du parti islamo-conservateur Ennahdha.
