Sans condamner explicitement le coup d’État militaire du 24 janvier, les 15 membres du Conseil de sécurité de l’ONU ont approuvé mercredi une déclaration commune exprimant leur préoccupation face à la situation au Burkina Faso. Le texte rédigé par le Ghana réclame aussi la libération du président renversé Roch Marc Christian Kaboré.
