En Guadeloupe, le procureur de la République a assuré vendredi que les violences en cours depuis trois mois, sur fond de contestation contre l’obligation vaccinale pour le personnel soignant et les pompiers, ne sont pas spontanées. Selon lui, elle ont été “parfaitement planifiées et organisées”, avec notamment “la complicité, voire l’implication active d’un fonctionnaire de police”, placé désormais sous mandat de dépôt.
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