Le Sénat examine mercredi, pour la deuxième fois, la proposition de loi visant à élargir l’accès à l’IVG en France. L’une des mesures proposées par le texte divise la classe politique : l’allongement du délai légal de 12 à 14 semaines. Ce délai pourrait aider les femmes les plus fragiles, mais ne règlera pas à lui seul les difficultés d’accès à l’avortement.
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