Une nouvelle année marquée par le Covid-19, toujours omniprésent
Festivités annulées ou sévèrement encadrées : le monde s’apprête à entamer une troisième année de pandémie alors que les contaminations explosent mais que de timides signes d’espoir apparaissent.
Plus de 5,4 millions de personnes sont mortes depuis que le virus a été identifié en Chine, en décembre 2019. D’innombrables autres personnes ont été contaminées. L’émergence du variant Omicron, particulièrement contagieux, à la fin de l’année a fait dépasser le million de cas quotidiens pour la première fois.
La France est devenue jeudi soir le dernier pays en date à annoncer qu’Omicron était désormais majoritaire sur son territoire, après une « progression importante » du virus ces derniers jours.
La Grande-Bretagne, les Etats-Unis et même l’Australie, qui était longtemps restée à l’abri de la pandémie, battent des records de nouveaux cas.
La distribution de vaccins à environ 60 % de la population mondiale laisse pourtant entrevoir une lueur d’espoir, bien que certains pays pauvres n’y aient toujours qu’un accès limité et qu’une frange de la population y reste réticente.
De Séoul à San Francisco, les célébrations du Nouvel An ont de nouveau été annulées ou réduites. Mais celles de Rio de Janeiro, qui rassemblent habituellement 3 millions de personnes sur la plage de Copacabana, sont maintenues. Comme à Times Square, à New York, les événements officiels seront réduits, mais les foules sont tout de même attendues. Sydney, la plus grande ville d’Australie, a également maintenu son feu d’artifice.
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