La Préfecture de police a annoncé l’interpellation de trois supporters, ce mardi quatre jours après les incidents ayant éclaté dans les tribunes lors de la rencontre de Coupe de France entre le Paris FC et l’OL, vendredi. Les trois individus arrêtés sont des ultras du PSG, selon les informations de RMC Sport.
Quatre jours après les incidents en tribunes ayant émaillé la rencontre de Coupe de France entre le Paris FC et l’OL, la police a opéré ses premières interpellations, ce mardi. La préfecture de police de Paris a annoncé la nouvelle dans un message sur Twitter. « Des investigations ont été menées qui ont conduit à l’identification et à l’interpellation, ce matin, de trois supporters ultras, indique le communiqué. Enquête en cours. »
La police a procédé ce mardi matin à l’interpellation de trois Ultras dans la région parisienne. Ces trois personnes sont des fans affiliés au groupe de supporters du PSG « Porte 411 », selon une source policière à RMC Sport. Le leader de ce groupe fait partie des individus en garde à vue, a-t-on appris mardi soir.
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D’autres interpellations pourraient bientôt avoir lieu
Si la préfecture ne précisait pas de quel club se revendiquent les ultras interpellés, ils appartiennent donc bien à un groupe toujours au présent au Parc des Princes, confirmant ainsi les informations révélées par RMC Sport dès lundi.
Les enquêteurs ont remarqué la présence d’une entité Ultras du PSG lors des débordements après analyse de la vidéosurveillance. Il s’agit du groupe « la Porte 411 ». L’identification des fauteurs de troubles, qui s’avère très compliquée étant donné que la plupart des fans portaient des cagoules au moment des faits, avance néanmoins. D’autres interpellations pourraient se produire dans les prochains jours.
Les enquêteurs ont remarqué une réelle volonté s’en découdre entre ce camp du PSG et le Lyonnais. Les débordements ont éclaté en fin de première période lors de cette rencontre.
Ils ont éclaté dans le parcage lyonnais que certains supporters ont réussi à forcer avant de s’en prendre à des spectateurs dans la tribune adjacente. Depuis, l’OL s’est activé pour identifier les fauteurs de trouble et envoyer les premières interdictions de stade. Pierre Ferracci, président du Paris FC, a, lui, défendu son dispositif de sécurité, regretté le faible nombre de stadiers lyonnais et regretté la présence d’ultras parisiens.
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