De plus en plus de créateurs de contenus tentent d’apprendre et de faire revivre le “te reo maori” sur les réseaux sociaux, la langue indigène de Nouvelle-Zélande parlée par tout juste un quart de la population maorie du pays.

De plus en plus de créateurs de contenus tentent d’apprendre et de faire revivre le “te reo maori” sur les réseaux sociaux, la langue indigène de Nouvelle-Zélande parlée par tout juste un quart de la population maorie du pays.