Alors que les 27 s’apprêtent à “durcir les sanctions” contre la Biélorussie, accusée d’orchestrer une crise migratoire aux portes de l’UE, le président Alexandre Loukachenko a affirmé, lundi, qu’il ne voulait “aucun conflit” et a promis que son pays travaillait “activement” au rapatriement des milliers de migrants bloqués à la frontière avec la Pologne.
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