Au cœur d’une campagne d’intenses pressions politiques depuis plusieurs mois, le juge d’instruction libanais Tarek Bitar, chargé de l’enquête sur les explosions d’août 2020 au port de Beyrouth, a été contraint pour la troisième fois, jeudi, de suspendre ses investigations à la suite du recours d’un ancien ministre. Les familles des victimes, ulcérées par ce nouveau coup d’arrêt dans leur quête de justice, accusent le coup.
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