Alors qu’Islamabad a longtemps été accusée de soutenir secrètement les Taliban, le Premier ministre pakistanais Imran Khan a ouvertement salué, lundi dernier, la chute de Kaboul. Selon les experts, les inquiétudes géostratégiques du Pakistan vis-à-vis de son ennemi, l’Inde, motivent sa position pro-Taliban et rendent peu probable un changement de politique, malgré les craintes d’une plus grande menace jihadiste sur le sol pakistanais.
