Le Maroc et la Hongrie, soupçonnés d’avoir espionné des militants des droits humains, des journalistes et des opposants du monde grâce à Pegasus, un puissant logiciel espion israélien, ont nié lundi les accusations.
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Le Maroc et la Hongrie, soupçonnés d’avoir espionné des militants des droits humains, des journalistes et des opposants du monde grâce à Pegasus, un puissant logiciel espion israélien, ont nié lundi les accusations.