L’Italie vers un record de victoires ?
Les Italiens ont déjà la plus longue série de victoires consécutives à l’Euro en incluant la phase de qualifications (15). Mais si on ne compte que la phase finale, ils en sont à 5… Soit le meilleur total, à égalité avec la France (84), les Pays-Bas (88-92) et la République Tchèque (00-04). Et aucune nation n’a jamais gagné plus de 5 matchs sur une seule phase finale.
Et double changement italien
Après une petite frayeur pour la Nazionale, suite à une erreur de Donnarumma qui n’a pas profité à Morata, Mancini effectue aussi deux changements. Verratti et Emerson sortent, Toloi et Pessina entrent.
Double changement d’Enrique
Koke et Oyarzabal, aux manettes de la dernière grosse occasion de la Roja, cèdent leur place pour les 20 dernières minutes. Rodri et Gerard Moreno entrent.
L’Italie à 12 buts
La Squadra Azzurra a d’ores et déjà rejoint son meilleur total de but dans une grande compétition, comme lors… de la Coupe du monde 2006, 1982 et 1934. Trois compétitions remportées par l’Italie.
Dani Olmo… à côté
Le joueur du RB Leipzig est celui qui a le plus tenté pour le moment sur cette demi-finale. Mais sa quatrième frappe n’est pas cadrée. Donnarumma regarde le ballon sortir.
OOOOH QUELLE OFFRANDE DE KOKE !
Oyarzabal a parfaitement senti le coup et pris la profondeur au bon moment pour être à la réception d’une petite passe piquée de Koke. Mais étonnamment, l’attaquant rate le ballon de la tête. Ce sera une sortie de but…
Quelle réaction pour la Roja ?
Corner en faveur de l’Espagne qui ne donne rien. La Roja avait la main mise sur quasi toutes les statistiques, mais sans faire franchement la différence.
Changements des deux côtés
Pour l’Italie, Chiesa devait sortir, ce sera finalement Immobile qui cède sa place après ce but. Berardi entre en jeu.
Luis Enrique réagit également avec l’entrée en jeu de Morata à la place de Ferran Torres.
BUUUUUUT !
CHIESA ! OUVERTURE DU SCORE POUR L’ITALIE !
Le deuxième but de l’ailier italien dans cet Euro et quel but important ! Au bout d’une contre-attaque, sa frappe enroulée est parfaite et ne laisse pas la moindre chance à Simon, battu. OH L’Italie prend l’avantage, 1-0 !
Donnarumma bien placé !
Le gardien italien stoppe une nouvelle tentative lointaine d’Oyarzabal. Le mur de l’Italie est infranchissable jusqu’à présent, malgré un siège permanent de la Roja.
Carton pour Busquets
Premier avertissement du match contre le milieu récupérateur pour une faute tactique, dans le dos d’Immobile, afin d’empêcher une potentielle contre-attaque.
Di Lorenzo bien placé devant Torres
Le latéral droit de la Nazionale ne se manque pas pour dégager le ballon sur un centre fuyant et pousse en corner. Donnarumma le dégage des poings.
Frappe d’Immobile !
Lancé dans la profondeur, le buteur de la Lazio résiste bien à Laporte, au duel, avant de tenter tout de suite une frappe… qui file à côté du but.
Relance farfelue de Simon
Le gardien de la Roja rate magnifiquement sa relance au pied, envoyée vers le côté opposé. Cela offre finalement un corner… qui ne profite pas à l’Italie.
Le jeu reprend !
La masterclass Pedri va-t-elle continuer ? Finira-t-il à 100 % de passes réussies après son 31 sur 31 en 1re période ? Comment l’Italie va-t-elle tenter de renverser la vapeur et prendre la Roja à revers ?
C’est la pause !
Pas de temps additionnel après cette première mi-temps très tactique (et un peu fermé donc). Les Espagnols sont dans leur match et leur tempo, avec le ballon, et mettent en difficulté la Squadra Azzurra. Les joueurs de Mancini vont devoir trouver la solution s’ils veulent poursuivre leur route vers la finale.
Emerson… trouve la barre !
Le latéral gauche dédouble parfaitement Insigne, qui le sert dans les seize derniers mètres. Emerson frappe sans hésiter… et c’est légèrement dévié, sur la barre transversale !
Pedri au-dessus du soleil
Le jeune joueur du FC Barcelone est facile, avec sérénité, avec confiance, et dirige le jeu de son équipe… qui dépasse déjà les 400 ballons touchés, avec 67 % de possession.
Oyarzabal… loin au-dessus !
La Roja profite d’une récupération très haute pour se projeter immédiatement vers l’avant et mettre en difficulté la défense italienne. Aux seize mètres, Oyarzabal choisit de tirer… et rate totalement le cadre.
L’Italie coincée
Les joueurs de Mancini n’y arrive pas du tout, malgré quelques montées de balle rapide… et n’ont même pas tenté une seule frappe dans le jeu, puisque Barella était hors jeu.
Azpilicueta s’impose
Dans la surface, Insigne essaye de sauver le ballon et de surprendre le latéral de Chelsea avec une roulette. Azpilicueta ne se laisse pas prendre et s’impose physiquement pour laisser sortir le ballon.
Olmo tente !
Après un ballon perdu par Verratti, Olmo préfère l’option individuelle et frappe… à côté du cadre. Le but ne vient toujours pas pour le joueur de Leipzig dans cet Euro, malgré trois tirs déjà ce soir.
La squadra calme le jeu
On se trouve temps faible des deux côtés après quelques fautes pour couper le rythme espagnol, notamment par Di Lorenzo. L’arbitre Felix Brych, très critiqué avant la rencontre par la presse italienne, ne sévit pas pour le moment.
La parade de Donnarumma !
Servi dans la surface après un mauvais dégagement du gardien italien, Dani Olmo frappe par deux fois. Donnarumma se rattrape bien en se couchant rapidement pour écarter le danger.
L’Espagne garde la balle
Après un peu plus de la moitié de la première période, le rapport de force est là, sur les passes réussies : 55 à… 183. En faveur de la Roja évidemment. Mais peu d’occasions énormes pour autant, des deux côtés.
Ooooh l’erreur de Simon !
Quelle étrange sortie d’Unai Simon ! Alors qu’Azpilicueta est au duel sur le côté droit avec Chiesa, le gardien de la Roja sort de son but… et laisse l’Italien donner le ballon plein axe, à Immobile. Le buteur tarde, hésite, donne finalement à Barella… contré.
Pedri, la jeunesse à l’honneur
Dans la jeune équipe choisie par Luis Enrique, il est le plus jeune et celui qui brille peut-être le plus, ce soir encore, grâce à la justesse de ses passes. Pedri est même devenu ce soir le plus jeune footballeur à disputer une demi-finale de l’Euro, avant ses 19 ans.
Ferran Torres à distance !
L’attaquant de Manchester City parvient à dribbler plein axe pour s’offrir un peu d’espace. Il arme son tir… qui passe à côté du cadre.
Grosse frayeur pour l’Italie !
Sur une magnifique ouverture de Pedri, Oyarzabal est un peu malchanceux sur son contrôle, qui reste un peu derrière lui alors qu’il n’avait plus qu’à se présenter face à Donnarumma. La défense se dégage en catastrophe.
Oyarzabal centre…
Sa passe à ras de terre dans la surface est contrée et renvoyée par la défense adverse. Mais la Roja s’installe de plus en plus dans le camp adverse.
Les Espagnols mettent le pied sur le ballon
Leurs stats de passes réussies dans cet Euro vont encore exploser, avec notamment Aymeric Laporte qui peut conforter sa première place… loin, très loin devant tout le monde. Même si les Italiens reculent peu.
Ferran Torres cherche Olmo
La passe dans la profondeur de l’attaquant surprend un peu son propre partenaire. Bonucci peut laisser le ballon mourir en sortie de but.
OH LE POTEAU !
Quelle action de la Squadra Azzurra déjà ! Au bout d’une belle attaque rapide, Barella tente d’enrouler le ballon au-dessus de Simon. Son tir surprend le gardien avant d’heurter le poteau… et que l’arbitre de touche ne lève son drapeau. Mais quel beau geste !
Le match commence fort !
Les deux équipes ne se donnent pas de round d’observation avec un pressing extrêmement haut de la Nazionale pour empêcher l’Espagne de conserver le ballon tranquillement, comme à son habitude.
C’est parti !
Les Italiens ont crié leur hymne, les Espagnols ont écouté le leur, et le coup d’envoi est donné ! Qui sera le premier qualifié pour la finale de cet Euro 2020 joué en 2021 ?
Les équipes dans le tunnel
Tout est prêt pour cette grande demi-finale à Wembley, avec de nombreux Italiens (vivants en Angleterre ?) malgré tout pour essayer de porter leur équipe jusqu’à la finale, comme en 2000, comme en 2012…
Un hymne favorable à la Nazionale ?
Alors que les Espagnols ne chanteront pas sur leur hymne, les joueurs italiens devraient une fois encore s’époumoner au son de Fratelli d’Italia. Leur hymne est devenu un moment clé de la motivation de l’équipe, de ferveur particulière, comme vous l’explique RMC Sport.
Les équipes se préparent
L’échauffement a commencé sur la pelouse de Wembley, dans des conditions… pas franchement estivales. Il fait à peine 15 °C ce soir à Londres.
Le classique des classiques
Ce soir, l’Italie et l’Espagne se retrouvent pour la 10e fois dans une compétition majeure. Elle devient ainsi la confrontation la plus récurrente entre deux nations européennes… Et pour Chiellini : ce sera tout simplement le 5e match contre l’Espagne lors d’un Euro. Costaud.
Sabaria : « Je verrai pour la finale… »
Sarabia, interrogé sur BeIN Sport avant le match, a admis sa frustration : « C’est vrai que j’aurais voulu jouer… Mais je suis fier de l’équipe et j’espère qu’on va faire un match très complet. J’espère qu’on va gagner aujourd’hui et après je verrai si je peux jouer la finale. » Et sans vouloir commenter les choix de Luis Enrique, il a souligné le besoin de « gagner en équipe, avec tous les joueurs ».
Le souvenir de 2012
Il y a neuf ans, à Kiev, l’Espagne avait infligé une véritable leçon lors de la finale de l’Euro après un match nul en poule (1-1) : une victoire 4-0 qui consacrait définitivement la génération dorée de la Roja, avec un troisième succès consécutif suite à l’Euro 2008 et la Coupe du monde 2010.
Olmo et Moreno dans l’attente du but
Malgré deux matchs spectaculaires et offensifs dans cet Euro, avec 5 buts marqués contre la Slovaquie (5-0) puis la Croatie (5-3 après prolongation), Dani Olmo et Gerard Moreno n’ont toujours pas ouvert leur compteur… malgré 31 tirs à eux deux.
L’Italie avec Emerson, la Roja sans Morata
Sans grande surprise, Mancini a choisi de faire confiance à Emerson sur le flanc gauche de sa défense en l’absence de Spinazzola. En face, Luis Enrique fait le pari de Oyarzabal et laisse Morata et Moreno sur le banc.
Le XI de l’Italie :
Donnarumma – Di Lorenzo, Bonucci, Chiellini, Emerson – Barella, Jorginho, Verratti – Chiesa, Immobile, Insigne.
Le XI de l’Espagne :
Unai Simón – Azpilicueta, Laporte, Eric García, Jordi Alba – Busquets, Koke, Pedri – Dani Olmo, Ferran Torres, Oyarzabal.
Sarabia forfait
Touché contre la Belgique et opéré dans la foulée du tendon d’Achille, le latéral de la Roma Spinazzola est évidemment absent ce soir.
Côté espagnol, Luis Enrique a confirmé en conférence de presse que Sarabia ne serait pas suffisamment remis, mais tous les autres joueurs sont à la disposition du sélectionneur de la Roja.
60000 spectateurs mais…
Ils devraient pouvoir être 60000 dans Wembley ce soir pour assister au match depuis les tribunes. Mais parmi eux, rares seront les Italiens et les Espagnols… la faute à un isolement imposé par le gouvernement britannique à l’entrée sur le territoire.
Première demi-finale de l’Euro ce soir !
Grosse affiche et finale avant l’heure ce soir à 21 h avec l’affrontement entre l’Italie et l’Espagne à Wembley. La Squadra Azzurra, impressionnante depuis le début du tournoi, retrouve la Roja dans un remake de la finale de 2012 qui s’annonce tendu. Un match à vivre dans ce direct commenté, sur RMC Sport !
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