Le parlement israélien a accordé, dimanche, sa confiance au nouveau Premier ministre Naftali Bennett et à un gouvernement qui devra composer avec une majorité hétéroclite. Un échec de la coalition “conduirait immanquablement à de nouvelles élections qui pourraient coûter très cher aux divers partis qui composent ce gouvernement”, estime Charles Enderlin, journaliste spécialiste du Proche-Orient.
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