Dans le nord du Burkina Faso, une centaine de civils ont été tués dans la nuit de vendredi à samedi dans l’attaque la plus meurtrière enregistrée depuis le début des violences jihadistes en 2015. L’attaque a “d’abord visé le poste” de supplétifs de l’armée, puis les maisons d’habitants, selon une source sécuritaire.
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