« Je ne dors pas, je suis mort »
Longtemps, la photo du petit Nori devrait vous rester en tête. Et c’est une bonne chose, car Nori est une des nombreuses victimes du commerce illégal des chiots.
2020 a été une année décisive à bien des égards. En raison de la pandémie de coronavirus, le commerce illégal de chiots via Internet a pris des proportions dramatiques et, avec lui, la mort de chiots. Environ un tiers de chiens de plus ont été importés cette année-là par rapport à 2019, la plupart trop jeunes pour être séparés de leur mère et souvent gravement malades.
Non seulement les propriétaires doivent souvent payer d’énormes sommes d’argent en frais vétérinaires, mais en fin de compte, les animaux se retrouvent souvent dans des refuges pour animaux, qui ont , la plupart du temps, atteint leurs limites. C’est pourquoi les associations allemandes de protection des animaux et les refuges pour animaux tirent désormais la sonnette d’alarme.
Une campagne contre le commerce illégal de chiots
Une soixantaine de partenaires du bien-être animal ont lancé une campagne nationale, en Allemagne, pour sensibiliser aux effets du commerce illégal de chiots en provenance principalement des pays d’Europe de l’Est.
De nombreuses actions se dérouleront, ce mois de mai 2021, afin que le sombre destin de Nori, et de tant d’autres chiots, puissent faire évoluer enfin les choses et reculer le trafic d’animaux. Tracts, chaînes humaine… Autant d’actions qui vont permettrent de dévoiler la vraie histoire de ces chiots issus du traffic.
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