Depuis la mort de Gisèle Halimi, fervente défenseure des droits des femmes, en juillet 2020, de nombreuses voix s’élèvent pour réclamer son entrée au Panthéon. Si l’Élysée affirme qu'”une réflexion est en cours”, il semble cependant frileux. En cause, notamment, les positions de l’avocate sur la guerre d’Algérie qui la rendraient “trop clivante”.