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Tagué, effacé, re-tagué : comment un graffiti est devenu un symbole du ras-le-bol des Libanais


Plus de huit mois après l’explosion meurtrière du port de Beyrouth, la colère est toujours vive au Liban. Une inscription pointant la responsabilité du gouvernement dans ce drame, taguée sur un muret près du port, a disparu sous une couche de peinture blanche, début avril, provoquant l’ire de nombreux Libanais.