Alors que le conflit s’enlise en Birmanie, l’ONU a mis en garde, mercredi, contre “un risque de guerre civile sans précédent.” Deux mois après le coup d’État de la junte, cette dernière a rassemblé contre elle les acteurs de la vie politique birmane, analyse Sophie Boisseau du Rocher, spécialiste de l’Asie du Sud-Est.
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