Dix après le début du conflit en Syrie, le constat d’échec est sans appel pour l’opposition syrienne, qui, malgré ses efforts, n’a pas réussi à s’imposer comme une alternative, ni à faire trembler le régime du président Bachar al-Assad. Marginalisée par ses propres parrains étrangers, dupée par Damas et divisée en plusieurs courants, elle n’a finalement jamais pesé sur les événements. Décryptage.