Alexeï Navalny, arrêté et emprisonné dès son retour en janvier en Russie, a été transféré de la prison de la région de Vladmir vers un lieu inconnu, a-t-il indiqué vendredi sur son compte Twitter, en citant ses avocats. Ce même jour, quarante-cinq pays, dont les États-Unis, l’Australie ou encore le Japon, ont exigé que Moscou le libère et que son empoisonnement fasse l’objet d’une enquête.