Nazanin Zaghari-Ratcliffe est emprisonnée à Téhéran depuis cinq ans. Son sort est étroitement lié à une dette du Royaume-Uni vis-à-vis de l’Iran, après la rupture d’un contrat d’armement en 1979. Si les Britanniques consentent désormais à rembourser cette dette, ils ne peuvent le faire tant que durent les sanctions américaines visant la République islamique. L’Irano-Britannique se retrouve prisonnière d’un jeu diplomatique qui la dépasse. Récit.