Dix ans après la chute de Mouammar Kadhafi, la plupart des habitants de la ville de Tawarga, accusés d’avoir combattu en 2011 pour l’ancien guide libyen, et d’avoir attaqué la ville voisine de Misrata, n’ont toujours pas pu retourner chez eux et vivent éparpillés dans des camps de déplacés. Malgré un accord de réconciliation signé en 2018, leur ville est sous la tutelle de Misrata, et encore largement détruite et sans accès suffisant à l’électricité.