La décision de l’armée birmane, jeudi, de couper l’accès à Facebook peut ressembler à une mesure classique d’un régime autoritaire en temps de crise. Mais elle doit aussi être appréciée au regard de l’histoire très particulière du réseau social dans un pays où il a été accusé d’avoir favorisé la persécution de la minorité musulmane des Rohingya.